“Salut les gars, je suis toujours vivante”. C’est ainsi que Bisan Owda, 25 ans, lance la plupart de ses directs sur Instagram. Mais après seize jours de bombardements israelisla réalisatrice a confié à ses 665 000 abonnés : “ma plus grande peur, ce n’est pas de mourir, ma plus grande peur, c’est de rester en vie.”
À l’instar de quelque 50 000 displaced, Bisan Owda et ses parents ont trouvé refuge dans l’enceinte et à proximité de l’hôpital Shifa, le plus grand de la bande de Gaza. Ils font partie des plus d’un million de Gazaouis qui ont été desplaced depuis que le Hamas a perpétré un massacre dans le sud d’Israel le 7 octobre, qui a fait au moins 1 400 morts.
L’attaque terrorist du groupe palestinien a entraîn une replique d’Israël qui mène, depuis, une campaign de bombardements de l’enclave. In parallel, the Israeli government ordered the inhabitants to evacuate the north of the coast.
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